You are the boss
La liberté professionnelle
You are the boss

La liberté professionnelle

Devenir son propre patron, l’idée peut faire peur. Pas de panique cependant, la tâche est moins ardue qu’il n’y paraît et bientôt vous pourrez naviguer en toute liberté dans le flot continu de la vie professionnelle.

Lors du dernier article, vous étiez restés sur une question  à laquelle il vous avait été demandé de réfléchir. Qu’avez-vous trouvé ? Et cette réponse vous convient-elle ? Vous souhaitez plus de précisions par quelqu’un qui l’a vécu ? Bon, allez. C’est bien parce que c’est vous !

En premier lieu, l’indépendance professionnelle suppose quelques démarches administratives et une réflexion sur l’activité que vous voulez exercer et ses chances sur le marché. Des sites très complets vous aident pour cela sur Internet, ainsi que des associations comme l’Adie. Quoi qu’il en soit, sachez que devenir micro entrepreneur se fait en quelques clics et n’a jamais été aussi facile qu’aujourd’hui.

 

Ensuite, il va falloir vous faire connaître, vous constituer un réseau et faire découvrir votre activité à vos futurs clients adorés. Là encore, une multitude d’évènements existent pour vous y aider, sans parler des canaux habituels (site Internet, flyers publicitaires, affiches, banderoles dans le ciel ou en haut d’un immeuble, annonces dans les journaux). Un excellent endroit pour rencontrer des professionnels indépendants en provenance de tous les secteurs possibles et imaginables ? Les apéros entrepreneurs, tous les premiers jeudis du mois à Strasbourg !

 

Enfin, il est essentiel de vous constituer un planning, de vous astreindre à vous lever le matin si vous êtes du matin ou à travailler à 3 heures du matin en rentrant de soirée si vous êtes un oiseau de nuit. Vous êtes LIBRES, vous faites ce que vous voulez, mais vous devez respecter vos clients  si vous souhaitez les garder.

Votre seul employé, c’est vous. Votre seul patron, c’est encore vous. Vous ne pouvez donc compter que sur vous-même.

Le travail d’indépendance, c’est un dur travail pour sa liberté. Parfois, les week-ends n’existent pas, parfois les temps d’inactions durent si longtemps que l’on se croirait en période de chômage.

 

D’autres fois encore, l’on risque de ne plus sortir de chez soi car l’on ne sait plus comment faire avancer son entreprise, comment s’imposer face à une société concurrente, dynamique ou injuste.

Dans ces moments de doute, d’inaction, il faudra pouvoir rester en action

C’est là que vous saurez si vous êtes fait pour être votre propre patron. Certains préfèreront le cadre rassurant habituellement proposé par la société, et cela n’est pas plus mal. D’autres voudront vivre autre chose et se complairont hors-cadre, tel un électron libre voguant au gré des ondées de sa destinée professionnelle unique.

 

Prenez le temps de réfléchir à ce que vous voulez, tentez différentes choses et essayez de définir là où vous vous sentez le mieux.

Après tout, n’est-ce pas cela le but d’un travail ? Nous permettre de vivre et de nous sentir bien ?

Vous pouvez là encore méditer là-dessus. Votre vie de bonheur en dépend.

 

Philippe

 

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