Mais parfois, on a beau se sentir bien à la maison, il est indispensable de voir autre chose de temps en temps.

L’indépendance professionnelle vous le permet. Selon le travail que vous effectuez, qu’il s’agisse de consulter des statistiques, de faire du référencement ou d’écrire votre prochain roman,  vous n’avez parfois besoin que d’un ordinateur et d’un téléphone, la connexion Internet n’étant qu’une option que vous trouverez partout. (Mais vraiment partout, même en Islande, une  île perdue  ou vous pouvez sans doute trouver une connexion Wifi au sommet d’un geyser ou au fond d’un glacier).

Autrement dit, vous pouvez vous installer au centre d’une plaine désolée en vous laissant encercler de moutons blancs et noirs ou encore travailler au creux d’un volcan éteint (il vaut mieux pour vous) si ça vous allume. Tout est possible !

Si vous prenez garde qu’une noix de coco ne tombe, non pas sur votre tête mais sur votre clavier d’ordinateur, gâchant ainsi possiblement un travail de plusieurs jours/mois/années/millénaires, vous pouvez également travailler sur une petite île paradisiaque, entre deux baignades et pincements de homards.

Vous avez également la possibilité de profiter de votre temps de transport, qu’il s’agisse d’un avion, d’un train, d’un bus, d’un métro, d’un sous-marin, d’une montgolfière ou encore d’une fusée, pour avancer sur votre travail.

Mais si vous détestez vraiment être à votre domicile, pourquoi votre maison ne serait-elle pas la route elle-même?

Il existe suffisamment d’auberges de jeunesses, de restaurants, de cafés où trouver de la wifi et recharger votre PC de temps en temps. Vous pourrez parcourir le monde tout en gagnant au fur et à mesure de quoi financer votre voyage.

L’indépendance professionnelle, finalement, c’est un peu l’ultime porte ouverte sur le monde, la liberté que vous attendiez, le mode de travail idéal.

Alors profitez-en bien et … bon voyage !

Philippe