La plupart de ces histoires d’amour (ou de sexe osons le dire !) sont régies par la règle immatérielle du « pour vivre heureux, vivons cachés ».

Un sentiment de culpabilité davantage justifié par les commérages ou par la Loi ?

On ne pourra que rappeler que « l’enfer, c’est les autres » !

Même si la relation a lieu entre deux collègues de travail, les sentiments et (ou) les relations sexuelles relèvent de la sphère privée et à ce titre l’employeur ne peut sanctionner les salariés concernés sans commettre une erreur.

De même, il ne peut « anticiper » ces éventuelles relations en mettant en place des chartes de bonne conduite ou un règlement intérieur qui contiennent des clauses rappelant le caractère nuisible des relations amoureuses dans le cadre du travail et interdisent toute relation de ce type entre collègues, y compris en dehors du lieu et du temps de travail.

Le comportement du salarié ne doit pas perturber la vie de l’entreprise. Ainsi, un comportement ostentatoire ou tout simplement le « sexe » sur le lieu de travail peuvent justifier un licenciement pour faute (avis aux amateurs).

Le harcèlement sexuel comme épée de Damoclès

Les salariés ne doivent pas oublier que la frontière entre la relation consentante et l’assimilation de propos ou comportements répétés en harcèlement sexuel est mince d’autant que le fait d’être un supérieur hiérarchique constitue une cause aggravante si harcèlement sexuel il y a …

Ne vous privez pas d’une belle rencontre mais sachez préserver votre intimité … à la maison !

Guillaume