Dans ces différents cas, il peut s’avérer laborieux de ne penser ou de ne vivre que pour le travail, que celui-ci change régulièrement ou reste dans une constante forçant toujours l’admiration. 

A moins que votre passion unique et préférée ne soit le travail ?

Oui, vous pouvez réfléchir à cette question. Assidûment. Cela vous passionne-t-il de travailler ?

Si la réponse est oui, vous permettez à une célèbre expression de prendre tout son sens : « Le travail, c’est la santé ». Ne lésinez surtout pas sur les heures supplémentaires.
Si la réponse est non, ne croyez pas que vous allez adhérer aussi facilement à l’expression «Ne rien faire, c’est la conserver » (la santé, pour ceux qui n’auraient pas suivis). Il faut vous trouver une passion, complétant ou non vos interminables journées de travail.

Un sport ? Oui mais lequel, seul (musculation, jogging) ou à plusieurs (karaté, basket-ball) ?
Une activité artistique ? Oui mais laquelle ? Seul ou à plusieurs ? De la peinture, du dessin d’animaux exotiques, du théâtre, de l’assemblage de bouchons de Liège achetés en France ? 
Du bénévolat dans une association pansant notre belle planète bleue ? Une aide humanitaire de la part de l’humain que vous êtes à tous les humains ayant besoin d’aide ? L’achat d’un petit animal de compagnie comme le perroquet en promotion nommé Coco que vous avez aperçu en semi-liberté lors de votre dernier voyage à Séville, en Espagne, et que vous espérez retrouver quelque part en France ?

Un grand artiste/sportif/bénévole/autre sommeille peut-être en vous. N’hésitez pas à faire des essais et à tester autant d’activités que vous le souhaitez avant de trouver celle qui vous siéra. Et une fois que vous l’avez trouvée, ne la lâchez plus. Elle peut compléter votre vie professionnelle ou en être à l’opposé total mais elle vous permettra dans tous les cas de passer un peu de temps avec vous-même tout en passant un bon moment. Les impacts sur votre travail ne pourront être que positifs. 
Et sur vous-même, n’en parlons même pas.  Vous l’avez déjà compris depuis longtemps, que c’était bénéfique.

Philippe